L’architecture des années cinquante et soixante a mauvaise réputation à Bruxelles. En proie à une véritable fièvre de la construction, le cœur de la ville est, à l’époque, amputé de quartiers entiers pour laisser place à de vastes immeubles pour la plupart sans âme. En périphérie, de nouvelles zones résidentielles plutôt mornes font reculer au loin la campagne.

Pourtant, sur cette toile de fond morose, fleurissent des constructions d’une remarquable originalité. Animés par un grand optimisme, des architectes se mettent en quête d’un langage moderne renouvelé, enrichi par la transparence, la poésie ou la couleur.

C’est à la découverte de cette facette méconnue de Bruxelles que vous convie cette exposition virtuelle.